La Terre, cette planète qui fait de moi un Terranien aux yeux d'une bonne partie des extraterrestres que j'ai connu. Celle où je grandissais, faisant les quatre cents coups pour le malheur de ma mère et de mon grand-père qui s'occupaient de moi. Mon père ? Pouf, disparu du jour au lendemain et je ne l'ai jamais connu. Lorsque les autres enfants me demandaient qui il était, je répondais le plus naturellement du monde que c'était David Hasselhoff et que son absence était liée à sa carrière. Je n'étais qu'un gamin, un sale gosse et même ce que l'on nommerait quotidiennement un enfant sauvage. Je n'hésitais pas à me battre avec les autres, à les rouer de coups ou à l'être moi-même pour des causes que je trouvais importantes.

Même si je me faisais tirer les oreilles par la suite, j'étais fier de moi, de ma réussite. Moins lorsque j'échouais, voyais le regard apeuré de ma mère face à mon état. Oh non, je n'étais pas fier à ce moment-là, pas du tout. J'avoue tout, j'étais penaud comme tout face à celle qui me soignait et me faisait des remarques... Le pire étant lorsque mon grand-père s'y mettait. En soi, je m'en sortais toujours d'une pirouette, d'une phrase, d'une boutade ou par n'importe quelle autre méthode. En gros, je vivais des jours heureux - et violents de temps en temps avec les autres enfants - où je découvrais la pop-culture en compagnie de ma mère qui avait fait juste pour moi une cassette audio jusqu'à ce jour où... Où...

Tout a changé. Mon monde. Ma vie. Mes espoirs. Tout.

Elle était tombée malade. Gravement au point que c'était mon grand-père qui s'occupait essentiellement de moi. Tel l'enfant que j'étais, je gardais au fond de moi l'espoir qu'elle s'en sorte. Un espoir si mince, mais qui m'empêchait de craquer, ce soir-là où nous étions à l’hôpital St-Charles. Où elle souhaitait que je lui tienne une dernière fois la main. Ce dont j’ai été incapable. J’ai fui les lieux dès que mon grand-père m'a demandé de sortir, le dernier cadeau de celle m'ayant mit au monde sous le bras, la tristesse m’envahissant, l’envie d’hurler se bloquant dans ma gorge alors que je courais encore et encore. Je ne faisais pas attention à l’endroit où je me rendais, je m’en fichais, j’étais juste triste, déboussolé, les cris avaient fini par se faire entendre et je n’ai pas directement comprit ce qu’il m’arrivait. Une lumière m’enveloppa, me fit quitter le sol, m’empêcha de faire demi-tour et m’entraîna dans ce que je pensais n’être qu’un objet de science-fiction à l’époque.

Je venais d’être kidnappé par les Ravageurs, ceux qui allèrent devenir ma seconde famille. Une famille aux valeurs bien différentes de celles que j’avais connues auparavant, qui m’apprit comment me faufiler dans des conduits, voler différents objets, être discret, piloter, me défendre et surtout à me débrouiller. Oh, ils n’étaient jamais loin, mais ils préféraient que j’essaie avant d’appeler à l’aide et ils faisaient ce qu’ils pouvaient pour s’occuper de moi. Même après des meurtres, même lorsque j’étais paniqué, ils arrivaient à me changer les idées, me faire voir la vie différemment.

Je me souviens encore de la première fois où Yondu était revenu couvert de sang, j'étais parti me cacher, tremblant comme une feuille. Je le voyais chercher ce qu'il pouvait faire, il me demandait de sortir de ma cachette d'abord gentiment, puis plus durement avant de changer de tactique et de jouer avec cette flèche. Elle volait dans les airs, sifflait et j'étais subjugué. Je le rejoignais, curieux de découvrir comment il faisait, oubliant le sang se trouvant sur lui.

Vint par la suite mon premier larcin. Étant plus petit que les autres je m'étais faufilé dans un conduit sans un bruit, mon cœur battait la chamade et j'entendais les réprimandes que m'auraient fait ma mère ou mon grand-père s'ils savaient ce que je faisais. Heureusement, ils n'en sauraient jamais rien et ce pour diverses raisons... J'étais entré dans le local dès que je n'entendis plus de bruit, me déplaçant tel un chat avant d'attraper la mallette. Ma cible. Je remontais dans le conduit, le traversais en sens inverse et une fois de l'autre côté je réalisais qu'ils ne m'avaient pas attendu. Il fallait que je retrouve le vaisseau par moi-même, sans me faire prendre... Ce qui n'était pas simple. Le moindre son me faisait sursauter, provoquait chez moi une frayeur nouvelle. S'ils me trouvaient, qu'allaient-ils me faire ? M'enfermer à jamais ? Je me dépêchais, accélérais avant de me rappeler qu'il fallait que je fasse comme si tout allait bien, comme si j'avais ma place en ces lieux. Être normal et ce même si j'entendais à présent des personnes courant, cherchant après ce que je venais de dérober. Ce n'est qu'au bout d'un moment qui me paru interminable que je retrouvais le vaisseau avec tous les autres... Des félicitations, des rires alors que nous décollions. Moi ? J'avais l'impression d'être épuisé, que mon cœur allait finir par sortir de ma poitrine, que j'avais fait quelque chose de mal.

Je grandissais, les aidais autant que je le pouvais même si une part de moi souhaitait se séparer d’eux. Mes peurs d'enfant s'effacèrent, ma morale se modifia au fil du temps. Le mal et le bien se mélangèrent devenant du gris durant mon adolescence, mais je n'oubliais pas. D'un enfant se battant pour ses idéaux, je devins un hors-la-loi. L'espace était mon terrain de jeu, les gens des cibles et les objets des prix potentiels.

Je voulais gagner mon indépendance, ne plus devoir rendre de compte…


L'orbe se trouvait sur Morag. Je le savais grâce au Courtier et mon envie de doubler Yondu n'était que grandissante. Planifiant mon plan, j'ai pris les devants filant sur cette planète afin de prendre cet objet, quitter la planète discrètement, le ramener au Courtier et vivre tranquillement ma vie sans avoir l'un des Ravageurs sur le dos. C'était assez simple, il me suffisait de me rendre sur place, de prendre l'objet et de me casser.

Arrivé sur cette douce planète, j'enfilais mes écouteurs, lançant la cassette audio se trouvant dans mon Walkman. L'Awesome Mix volume 1 se mettait en route, diffusant ses mélodies dans mes oreilles. Avançant jusqu'au temple tout en dansant, chantant, je profitais tout simplement de l'instant présent, de ce moment où je savais être seul en ces lieux tout en me frayant un chemin à travers les dangers jalonnant cet endroit. Pourquoi m'en ferais-je après tout ? Attrapant l'une des créatures - Un Orloni - tentant de m'attaquer, je l'utilisais un bref instant tel un micro avant de l'éjecter ailleurs. Au bout d'un certain temps qui me semblait réellement très court, je me suis retrouvé face à l'orbe. L'objet recherché par tant de gens qui s’avérait protégé par un fucking coffre-fort qui n'aura pas fait long feu face à moi ! Une mine à gravité et le tour était joué, à moi ce trésor demandé. Bon, c'était simple. Trop simple... Il devait y avoir un truc qui clochait quelque part.

Ouais... J'avais vite compris où était le couac lorsque j'ai été attaqué. Ooooh, bien sûr ils voulaient ce que je venais de chiper et ma douce explication sur le fait que j'étais juste un ferrailleur ne leur plaisait pas du tout. Quel dommage. Le comble ? Ils ne savaient pas qui j'étais... Sérieusement, est-ce que cela existe encore des gens ne connaissant pas le seul et unique Star Lord ? Le truc c'est qu'ils ne semblaient pas du tout vouloir que je prenne la poudre d'escampette - étape non moins importante de mon plan si je voulais rapporter cette jolie bouboule au Courtier - et plutôt m'embarquer voir un certain Ronan. Malheureusement, je n'étais pas de l'avis de Korath et de la troupe de Sakaariens l'accompagnant. J'ai décidé de leur fausser compagnie.

Vous croyez quoi que j'allais rester sage ? Jamais de la vie. Surtout avec ce genre de personne, il pouvait franchement aller se faire voir pour que je l'écoute tranquillement sans rien faire. Opération numéro une : Le distraire. Ce que je fis magistralement - non, je ne me lance pas de fleurs - avant de prendre la poudre d'escampette, tuant au passage quelques soldats l'accompagnant et lui tirant dessus. Il fallait bien que je tente de foutre le camp en paix afin de rejoindre le Milan tout en récupérant mon bien. Je sais, de base l'orbe ne m'appartient pas, ne venez pas m'embêter avec ça. Enfin bref, je foutais le camp jusqu'à mon cher vaisseau en utilisant mes jet-bottes tout en leur balançant à la figure une mine à gravité. Aux grands maux les grands remèdes.

Bien sûr je n'avais pas encore la paix, poursuivit par cet énergumène voulant me faire voir son supérieur. Retirant mon casque en vitesse, j'activais le vaisseau avant de filer à l'anglaise... Tout en me faisant tirer dessus ! Bordel, est-ce qu'il compte payer les réparations après s'il bousille quelque chose ? J'en doute fort ! Malgré tout, je m'en suis sorti ce qui n'est pas surprenant vu mon niveau en pilotage... Enfin... J'avais beau rire, j'ai tout de même eu une jolie frayeur juste après à cause d'un jet de vapeur m'ayant entrainé dans le décor. Sérieux, heureusement que je me débrouille sinon je passais l'arme à gauche en explosant contre un truc. Foutant le camp sans demander mon reste, je réalisais en même temps qu'il y avait quelqu'un en plus dans le vaisseau. Bon, à présent c'est une ex comme une panoplie d'autres, mais je doute qu'elle ai apprécié d'être autant secoué.

Par la suite, je me suis rendu chez le Courtier - après l'avoir gentiment déposée tout de même - avec qui je devais parler, sur le trajet je croisais de nombreuses personnes provenant de toute la galaxie. Voulant vendre ce doux objet devant me rapporter gros, j’eus droit à une jolie désillusion. Il n'en voulait plus dès que je lui ai appris que Korath bossait pour Ronan et avait en tête de faire péter Xandar. J'aurais sûrement dû me taire... Rageant ouvertement devant la boutique, je découvris une beauté verte. Une nouvelle future conquête peut-être ? Commençant à lui expliquer ce qu'il s'était passé, disant que le Courtier n'était pas un homme de parole je commençais ouvertement à flirter avec elle.

Même si elle ne semblait pas du tout impressionnée par qui j'étais... En fait, la seule chose qui a fini par l'intéresser est l'orbe et... Et je me suis retrouvé à devoir tenir tête à cette femme. Quand on est dans la merde, on l'est jusqu'au cou n'est-ce pas ? Eh bien oui, parce qu'elle n'a pas été la seule à se mettre à attaquer. Un raton-laveur et un arbre se sont ajoutés à l'équation...


Si je vous dis que les Gardiens de la Galaxie et la prison, ça fait un, me croyez-vous ? Notre petit groupe de bras cassés avait plutôt mal commencé. Vous vous souvenez de ceux m'ayant gentiment attaqué et attaqué la demoiselle verte ? Enfin bref, le combat en pleine ville sur Xandar ?

Et bien je me suis retrouvé avec ce beau monde dans une jolie petite prison de haute sécurité. Bon, d'accord, pas si petite que ça... Tout le monde voulait la peau de Gamora et moi je voulais récupérer mes affaires. C'est là-bas que j'ai rencontré Drax - qui lui aussi voulait tuer la fille de Thanos, après tout une personne de plus ou de moins pour vouloir la faire passer de vie à trépas je pense que cela ne changeait pas grand-chose - et nous étions loin du groupe que nous allions former par la suite. Jusqu'au moment où nous nous sommes mis d'accord pour déguerpir d'ici sans tuer l'un de nos acolytes. Plus facile à dire qu'à faire lorsque l'une des personnes que vous embarquez est un peu l'une des têtes à abattre.

Mais nous avons réussi, j'en avais profité pour récupérer mes biens et mon vaisseau pendant que les autres faisaient également ce qu'ils avaient à faire. Fine équipe que nous étions sur le moment... Même si nous nous envoyons pas mal de choses à la figure. Par la suite nous sommes partis rencontrer Le Collectionneur - ouais, je sais, on en rencontre des gens dans l'espace - afin que Gamora lui montre l'orbe qui contient un caillou. Une pierre d'infinité si vous préférez, mais un caillou quand même malgré sa puissance qui aura désintégré sa domestique. Elle n'aura pas fait long feu, mais quelle idée de vouloir prendre un truc qui devait être contenu dans une orbe.

Jusque là, tout allait bien... Trop bien encore une fois. L'arrêt prison n'était pas trop un problème en fait, vu que j'avais déjà un casier judiciaire depuis un moment. Je suis sûr que tout le monde se doute qu'il y a encore eu un magnifique problème. De un, Drax qui avait fait venir Ronan pour l'affronter, de deux l'échec cuisant durant le dit combat de mon acolyte, de trois le vol de l'orbe et donc de la pierre et quatre... De quatre Gamora qui s'était retrouvée dans l'espace, sans oxygène, protection et j'en passe. Si je n'étais pas parti la sauver en lui donnant mon casque elle serait morte. Moi aussi si Yondu n'était pas arrivé au bon moment vu que je n'avais plus rien pour recevoir de l'oxygène... Sur le moment, je me sentais partir et j'avoue avoir été soulagé quand mon père adoptif nous a repêché. Il aurait très bien pu me laisser mourir, même si je sais qu'au fond il tient à moi, comme je tiens à lui et puis une trêve avait été faite entre nous et les Ravageurs. C'est cool, non ?

Mais ce n'était pas terminé, on s'approche de la fin de l'histoire de cette satané boule possédée par Ronan à ce moment-là et proche de faire péter Xandar. Je vous jure, pauvre planète qui n'avait rien demandé. Ni une, ni deux c'est une jolie alliance entre les Cohortes de Nova, les Ravageurs et nous qui se créent pour l'attaquer. Il ne s'attendait pas à ça ! Cette jolie attaque groupée nous a permit de nous infiltrer jusqu'au combat final où sans mes équipiers... Pouf, il n'y aurait plus rien eu. Même s'il y a eu un joli crash juste après faisant que nous avons perdu un être cher... Groot s'est sacrifié pour nous sauver... et bien sûr le vilain pas beau a décidé que c'était le moment de tout faire péter juste après. Sauf que j'étais là ! Et pour distraire, je reste un pro malgré la douleur de la perte de notre arbre parlant. Une danse, le temps que Rocket et Drax aillent faire leur partie du boulot et c'était dans la poche ou plutôt dans la main.

J'avais rattrapé le caillou avant qu'il ne touche le sol, ne détruise tout. Une très mauvaise idée très, très, très douloureuse au point que j'ai cru voir ma mère me tendre la main. Une main que j'ai attrapée cette fois avant de réaliser que chacun des membres de l'équipe s'unissait. Cela nous avait probablement évité la désintégration et en même temps j'en avais gentiment profité pour faire disparaître Ronan, l'anéantissant et le rayant de la surface spatiale à jamais.

Points positifs de ces mésaventures ? Nos casiers sont vierges, j'ai une équipe du tonnerre pour faire les quatre cents coups même si nous ne sommes pas toujours d'accord, j'ai découvert que je n'étais qu'à moitié Humain, Groot a une descendance - Un arbrisseau nommé Groot Jr qui bouge dans son pot et dont nous nous occupons chacun notre tour - et j'ai enfin ouvert le paquet que m'avait offert ma mère il y a de nombreuses années. Une nouvelle cassette, un mot... Des musiques qu'elle avait aimé, qu'elle partageait à nouveau avec moi... Et mes souvenirs repartirent vers ce passé, ce moment où j'aurais dû lui tendre la main... Mon cœur se serrait, douloureux. Meredith Quill, ma mère, restait l'être comptant le plus pour moi malgré les années, malgré son décès prématuré et ce même si j'étais un adulte à présent...

♫ I never knew how complete love could be
'Til she kissed me and said
Baby, please, go all the way
It feels so right (feels so right)
Being with you here tonight
Please, go all the way
Just hold me close (hold me close)
Don't ever let me go

Nous avons continué de voyager en groupe rencontrant d'autres personnes, des êtres que nous connaissions déjà ou que nous découvrions. Certains nous rejoignaient durant quelques instants, d'autres tentaient plutôt de nous réduire à néant. L'espace était ainsi fait, des rencontres, des séparations, mais les Gardiens de la Galaxie restaient présents, prenaient des petites missions par-ci, par-là. Le bien, le mal, nous le faisions et ce même si nous étions des héros aux yeux de certains. Je dirais plutôt des anti-héros pour ma part, des êtres n'ayant strictement rien à faire des lois en vigueur et tentant de gagner leur vie tout en gardant leur liberté. J'ai même aidé les Cohortes de Nova à certains moments, même si les ordres et moi cela faisait deux, pour quelques crédits intergalactiques.

Sur le Milan, il nous arrivait d'aller trop loin, de manquer de peu la mort. Ah ça... Gamora m'aura presque tué un nombre incalculable de fois pour des raisons aussi diverses que variées. On ne change pas un Assassin de renom en quelques semaines ou mois vous savez et risquer ma vie à chaque tentative de flirt c'est assez chiant. J'aimerais rester vivant, merci ! Mis à part ces désagréments, nous vivions bien, comme nous le voulions, nous nous amusions et c'était ce qui comptait. Rocket s'occupait des réparations, ses connaissances dans le domaine dépassant aisément celles de n'importe qui sur le vaisseau. Mis à part cela, nous faisions le tour de différentes planètes, n'y restant jamais longtemps.

Comme toute la galaxie, nous avions entendu parler des disparitions. C'était incompréhensible, les gens ne pouvaient pas disparaître comme ça, du jour au lendemain. Mis à part s'ils le souhaitaient, qu'ils étaient en fuite, mais sinon... Sinon, j'ai rapidement découvert que c'était vrai et que moi aussi j'allais disparaître dans le néant. Disparaître alors que je m'occupais d'un petit être... Je n'ose même pas imaginer ce qu'il a dû traverser au niveau des émotions lorsque j'ai disparu devant lui. J'ai l'impression de l'avoir abandonné, de les avoir tous laissé et je n'ai strictement aucune idée de comment tout va évoluer autant de leur côté que du mien. A présent, il ne me reste plus qu'à survivre et utiliser les capacités que j'avais acquises au fil du temps. Pour moi, pour elle.

Nous étions à Burning Dust, comme je l'avais appris par la suite, et plus précisément dans le pire quartier de cette ville. Infinity Street, le quartier aux nombreux bâtiments désaffectés, celui le plus à risque. Des deux, j'étais le plus à même d'éviter que nous ne mourrions dans les heures qui suivent, elle avait besoin de soins, ne réagissait tout simplement plus vu qu'elle s'était évanouie dans cette armure et je comptais bien faire ce que je pouvais pour la sortir de ce mauvais pas.

Comme quoi, être à l'origine un hors-la-loi peut s'avérer utile lorsque l'on termine ailleurs.