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 Reality or appearance ? Up to you to prove it + ft. John Constantine

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Zatanna Zatara

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Reality or appearance ? Up to you to prove it + ft. John Constantine  − Sam 13 Fév - 20:08






ft. John Constantine

Reality or appearance ? Up to you to prove it ✦ “We've known each other for a long time and now you reappear. Is it really you or some apparition wanting to play with my memories.

Le regard qui se perd vers cette porte passée par une énième personne espérant trouver chaussure à son pied en venant à la boutique, un être ayant besoin d’aide et auquel divers objets avaient été vendu. Je regardais brièvement celle avec qui je travaillais, me demandant si elle avait encore refourgué de la camelote, des objets n’étant pas les véritables… Mais il était difficile de le savoir directement dans certains cas, ce faisant je la laissais faire, ne réalisant que par la suite, le tombant dessus dès que j’apprenais qu’elle avait vendu quelque chose ne servant à rien.

« - Elsa, est-ce que je peux t’envoyer chercher quelque chose ? »

Un colis, mais comme par hasard ils ne savaient pas le livrer à la boutique. Comme si c’était si compliqué ? Je n’attendais pas la réponse, lui donnant le papier afin de le récupérer et la mettant pratiquement dehors. Moi ? Je restais là, je surveillais la boutique, j’espérais voir d’autres clients, que tout se passerait bien. Ce qui n’était pas toujours le cas…

Après tout, il y avait toujours des cas espérant autre chose.

Alors que ma collègue – et colocataire – filait chercher ce dont nous avions besoin et probablement flâner dans les rues, je marchais dans la boutique, entre ces murs que je connaissais si bien depuis un an. Cette boutique que nous avions ouverte à deux, qui attirait les gens et les curieux. Cet endroit que j’appréciais énormément. Mes doigts glissaient sur une boite de petite taille, les inscriptions métalliques ressortant aisément.

« - Hm… Je me demande si on aura d’autres clients ou si le reste de la journée sera calme… »

La tête qui se secoue, la tignasse sombre suivant le mouvement alors que je m’éloigne de cet élément, de cet article devant être vendu. Mes pensées se perdant à nouveau, comme souvent ces derniers temps, alors que je regardais le mur. J’avais retrouvé certaines personnes de Gotham ou des villes alentours, mais pas toutes… Je me demandais ce qu’il était advenu des autres, s’ils allaient bien, comment était la vie à présent dans les rues de cette ville que je connaissais si bien mais qui devait être terriblement différente depuis la disparition de certains héros et vilains.

« - Ah… C’est tellement calme quand on est seule ici. J’ai l’impression d’avoir oublié cette sensation… »

Avant d’entendre le son de la porte s’ouvrant, la clochette signifiant que quelqu’un entre. Ce n’était tout de même pas déjà Elsa… Elle aurait été bien trop vite.

« - Si tu as oublié quelque chose, sache que je ne te savais pas tête en l’air. »

Même si je tentais tout de même, au cas où. Le laps de temps étant tout de même bien trop court. Je regardais finalement, curieuse avant de déglutir, de ne pas savoir que dire d’autre. J’étais certaine que ce n’était pas elle sur le coup, je connaissais cette stature, ces vêtements… Cet homme tout simplement.

Je le connaissais même un peu trop bien. Ce qui était réciproque…

« - John ?! »

Reprendre le contrôle, mon calme. Peut-être n’était-ce qu’une illusion, quelque chose que je voyais parce que je venais de penser à avant. Cette ville était pleine de surprises tant et si bien qu’il était parfois difficile de savoir ce qui était vrai ou faux, si ce qui nous faisait face n’était pas l’œuvre de notre esprit.

« - Est-ce bien toi ou un élément extérieur tentant de me faire comprendre quelque chose que je ne comprends pas directement ? »

Scepticisme. C’était logique. Trop de choses s’étaient produites en une année et je me méfiais naturellement.

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John Constantine

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Re: Reality or appearance ? Up to you to prove it + ft. John Constantine  − Dim 14 Fév - 2:45



REALITY OR APPEARANCE ?




Quelle est l’activité favorite d’un détective ? Enquêter bien-sûr. Il n’avait surtout pas le choix à vrai dire. Cela faisait très peu de temps qu’il était arrivé et après s’être pris des pintes par millier, il décida enfin de prendre sa situation au sérieux. Han, bosser c’était vraiment chiant quand on en avait aucune envie. En fait comment est-il arrivé jusqu’ici ? Le rationalisme n’allait pas l’aider, clairement pas. Il tentait d’exorciser un djinn amoureux, démon assez destructeur pour l’humain. Bien que dépravé, chrétiens, comme juifs, musulmans ou bien même certains religieux polythéistes demandaient son aide car ils savaient qu’il y avait une chance assez forte qu’il y parvienne. Mais peu importe. Il n’avait non seulement pas pu finir sa séance, mais en plus il n’avait pas eu le salaire qui allait avec.

Affligeant. Mais étrangement, le cœur était ailleurs. Il était pris au dépourvu. Sa façon de penser était simple. Il se préparer constamment au pire et comme ça, il savait exactement comment rebondir. Mais à cet instant, c’était on ne peut plus compliqué. Il ne savait pas où il était et ne pouvait donc pas utiliser sa magie à bon escient. Pour se téléporter le plus évident est de connaître son lieu de départ avant de vouloir aller quelque part d’autre, tout le monde sait cela hein. Et ce n’était pas le cas de John. Quand il avait tenté son sort, il avait juré du jargon liverpuldien, comme à son habitude quand quelque chose lui déplaisait. Le problème n’était pas l’endroit en soit, mais le fait que rien de négatif s’y passe. Il avait cette fâcheuse impression d’être au purgatoire et que son heure arrivait. Non, ce n’est pas possible. Il ne pouvait pas être mort. Il fallait qu’il enlève cette fâcheuse idée de sa tête. Il n’était pas en état de flancher aussi tôt. Il était plus robuste que cela.

Il avait « rôdé » dans les rues de cette ville nouvelle. Tout semblait normal, anodin. Mais John Constantine était un homme extrêmement méfiant ce n’était pas cette normalité qui allait lui faire baisser sa garde. Son premier réflexe intelligent – parce que boire jusqu’à avoir la vue trouble n’était pas quelque chose d’intelligent en vue du contexte, fut de sortir de sa poche remplie de malice, une aiguille à coudre ainsi qu’une pelote de laine – tout le monde avait ça, c’était connu !


— Guide. Guide. Guide. Montre-moi la direction d'un artéfact, ou un moyen de m’en aller d’ici.


Sa magie n’était pas en panne, Dieu merci ! Et aussitôt la pelote de laine commençait à se défaire. John n’avait plus qu’à tenir ces fils qui l’emmèneront, il l’espérait vers une avancée dans ses recherches. Ses pas devenaient de plus en plus rapides, peut-être l’impatience, l’excitation, les deux. Il ignorait qu’il était à peine au début de ses mésaventures. Le sort se stoppa. Il fut bien évidemment interloqué… Il avait passé beaucoup trop de temps depuis qu’il s’en était « allumé une ». Alors il sortit son paquet de silkcut si cher à son cœur et il pouvait enfin se concentrer sur l’endroit où sa magie s’était arrêtée. C’était une boutique. Et il n’hésita pas une seule seconde à y entrer avec nonchalance, toujours sa clope en bouche car Monsieur pensait que le monde entier acceptait comme en Angleterre la cigarette à l’intérieur des locaux. Ce qu’il trouva devant lui, le stoppa dans toute action. Enfin plutôt la personne qu’il trouva : Zatanna Zatara.

Il tomba des nues. John était quelqu’un qui avait peu d’amis et Zatanna en faisait partie. Comme la plupart des femmes de son entourage, elle avait aussi été son amante. Mais il y avait toujours un énorme respect la concernant. La belle magicienne était la seule à avoir fait culpabiliser John d’être un véritable c o n n a r d. Leur relation n’avait pas tenu car il était un homme mauvais, égoïste, opportun tandis qu’elle était une femme de parole, d’honneur, quelqu’un de bien. Il ne pouvait pas la faire souffrir davantage. Aucun mot ne sortit de ses lèvres. C’était impossible que Zatanna soit ici, devant lui. Elle faisait partie des personnes qui avaient disparues depuis pas mal de temps. Nergal ou un autre enfoiré de démon était au courant de cela et voulait l’utiliser contre lui ? Il était perdu à vrai dire. Et ce fut son interlocutrice qui parla en premier lieu.


— Est-ce bien toi ou un élément extérieur tentant de me faire comprendre quelque chose que je ne comprends pas directement ?


Lui-même était incapable de discerner les songes de la réalité. Il ne pouvait pas nier ce qu’il voyait. Il s’agissait bien de la magicienne la plus incroyable qu’il connaissait et avec son caractère toujours aussi bien trempé. Il n’y avait pas de doute possible à avoir. Et sa première réaction n’était qu’un simple rictus suivi de son toc habituel, celui de jouer avec son briquet fétiche.


— Tu sais, en règle générale la phrase de drague bateau c’est « Oh, je ne t’aurai pas déjà vu quelque part ? Dans mes rêves peut-être ? », mais je vais me contenter de celle-ci, Z’.


John avait la fâcheuse habitude d’être t a q u i n avec Zatanna peu importe les circonstances et souvent c’était quand ce n’était pas le moment qu’il sortait des phrases aussi nulles que celle-ci. Mais au fond, il était heureux comme soulagé de la revoir. Il espérait au plus profond de lui que ce n’était pas un songe. Zatanna avait une valeur que personne sur Terre avait réussi à égaler. Ce n’est pas de l’amour qu’il ressentait pour elle désormais, mais un respect, une admiration sans égale –  quand on était un « bloody bastard », les gens biens étaient limite des dieux. Elle maîtrisait la magie tout comme lui et pourtant elle n’avait jamais cédé à passer du côté obscur. Lui… N’était qu’un humain dépravé qui utilisait les magies toutes horribles, les unes, les autres pour parvenir à ses fins. Elle était noble d’esprit. Alors oui, il espérait bien que ce soit elle. Mais comment pouvait-elle lui prouver le contraire ? Était-ce une simple chimère ? Ou la belle réalité pour une fois ?




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Re: Reality or appearance ? Up to you to prove it + ft. John Constantine  − Dim 14 Fév - 21:55






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Lui. LUI. Combien de pourcent de chances y avait-il pour qu’il réapparaisse ? Pour qu’il passe les portes de cette boutique ? John Constantine, un être qui avait fait partie de ma vie de longues années même s’il arrivait que nos chemins se séparent pour diverses raisons. Un homme avec lequel j’étais sorti – bon, j’étais sortie et avais flirté avec pas mal de monde dans le passé, même en employant simplement ma magie – et avec lequel j’étais diamétralement opposée. Pourtant…

Pourtant nous arrivions à nous entendre, à rester en bon termes…

Je le fixais tout de même, retrouvais ce tic qu’il avait toujours eu et je passais une main dans ma chevelure corbeau, passant de l’autre côté du bureau, m’approchant, un léger sourire aux lèvres. Ah… C’était typiquement lui, ça. Cette réflexion en plus…

« - Je pensais que c’était ma colocataire et collègue qui revenait avant de douter que ce soit bien toi. Excuse-moi d’éviter les phrases de drague comme tu le dis si bien dans un tel moment. »

J’observais le paquet de cigarettes, roulais des yeux.

« - Dois-je te rappeler les règles en vigueur dans une boutique ? Tu as de la chance que je n’ai pas eu le droit de l’enchanter. »

L’un de mes doigts touchant son épaule, vérifiant que ce n’était pas un esprit quelconque, une apparition un peu trop réussie. Restons tout de même sur nos gardes. Je ne passais pas à travers, je sentais le tissu contre ma peau, ce tissu bien trop connu.

« - Depuis un an, tu n’as pas changé, on dirait. »

Une phrase toute simple, mais qui signifiait tant. Un an depuis que plusieurs d’entre-nous avaient disparus de nos lieux de vie. Un an où nos proches ne savaient pas où nous nous trouvions. Cela faisait… Bizarre. Bizarre de faire face à l’une de ses personnes, l’un de ceux de ce passé si proche et lointain à la fois…

« - Et si tu me racontais ce qu’il s’est passé chez nous ? Et ne me dis pas rien, je suis certaine qu’en un an ça a dû être la fête dans les rues. Surtout que la disparition de vilains ou de héros de renoms a dû permettre aux plus petits d’essayer de s’élever. »

Je me reculais, attrapais simplement la pancarte pour mettre que l’on était fermé pour le moment, mais que l’on ouvrirait à nouveau plus tard. Elsa ne m’en voudrait pas, n’est-ce pas ? Pour une fois que je le faisais…

Je retournais ensuite vers lui, le toisant à nouveau.

« - Est-ce que tu cherches quelque chose ? Si tu me dis, un moyen de partir, je te réponds directement. Je n’en ai trouvé aucun. Personne n’en n’a trouvé et pourtant ce ne sont pas les recherches qui sont inexistantes. A moins que tu aies, toi, une piste ? »

Ah… A peine revu et je lui tombais dessus. Bravo, Zee. Bra-vo. J’étais tout aussi irrécupérable que d’autres. Pourtant… AH… Qu’est-ce que ça faisait du bien de voir un autre visage connu, de retrouver un être avec lequel je pouvais parler sans difficulté même s’il allait me taquiner, me tancer… Il fallait juste que j’évite la pente ardue du personnel. J’en étais capa… Mince… J’avais déjà mentionné que j’avais une colocataire… Bonjour le côté fichu de ne pas mêler le personnel au reste. Surtout qu’il savait bien que je n’avais jamais eu de colocataire, que le manoir devenait aisément fou vu le langage de beaucoup de gens.

« - Tu es arrivé il y a longtemps ? Comme tu le vois, je me suis lancée dans la vente de mon côté, ça change des spectacles… Et toi ? Tu travailles toujours en tant que détective ? »

Je m’asseyais sur le meuble, attendant, souhaitant simplement l’écouter… Après tout, j’avais bien assez parlé, là. C’était à son tour…

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Re: Reality or appearance ? Up to you to prove it + ft. John Constantine  − Jeu 4 Mar - 16:10



REALITY OR APPEARANCE ?




Zatanna connaissait on ne peut plus John. Elle savait que chacune de ses paroles seraient toujours analysées car c’était dans sa nature même. Bien qu’on eût toujours cette impression que le sorcier prenait tout à la légère, c’était toujours le contraire. Il souhaitait se protéger d’une certaine façon. Montrer qu’il était totalement je m’en foutiste et donc atteignable. Nous savons vous et moi que ça n’est pas le cas.

Il regardait les lieux avec une certaine curiosité et bien évidemment, la cigarette au bec -pas allumée pour le moment, trop concentré. Apocalypse, danger interplanétaire ou qu’importe, John fumera toujours quoi qu’il en coûte. Et ça, Zatanna le savait malheureusement trop bien et s'empressa de lui reprocher. Mais on ne se refait plus. John sans ses cigarettes, c'était comme un ange sans ailes. Superbe analogie. Cette addiction était sa marque de fabrique à l'état pure. Il ne put s'empêcher d'esquisser un sourire malicieux quand elle lui parla de bienséance. Elle était mignonne, ça en était que trop drôle pour Johnny.



— Oui. Je le sais ma jolie. La magie pure, vertueuse et tout le bordel, je m’y connais. Et tant mieux, si elle n’est pas enchantée. Ça m’évitera une engueulade avec une maison magique, une énième fois. Admit-il simplement.



Il voulait allumer sa cigarette, mais fut aussitôt stoppé par ce contact minime avec la magicienne. C’était une façon pour lui d’être rassuré. Ce n’était pas une illusion, elle était bien devant lui. John ne l’admettra jamais, mais la disparition de Zatanna a été très douloureuse pour lui. Il l’a toujours dit, elle est et sera toujours la personne qu’il protègera, quoi qu’il lui en coûte. Les personnes que Constantine apprécie sont d’une denrée rare, sachez-le. Un faible sourire -presque béat, s’esquissait en guise réponse. Il était soulagé qu’elle n’ait pas périe. Mais cette information ne changeait en rien leur situation, ils étaient comme qui dirait coincés dans un monde qui décidait à leur place.



— Chez nous hein… Ah, tu t’es référé à la mauvaise personne. Tes amis en costume moulants disparaissaient de plus en plus, tout comme les bad guys. Quant à moi... j'avais quitté les Etats-Unis. Quand tu es partie… Je ne voyais pas l’intérêt de travailler encore avec eux. J’allais parfois voir Chimp parce que putain, son bar est inégalable. J’ai repris mon travail de détective et d’exorciste à Liverpool. Un bon gagne-pain, mais rien d'incroyable, ma belle. La monotie habituelle du cher Johnny boi. Zatanna...Concernant cet endroit, je n'ai aucune piste. Je ne sais pas quel serait le dessein de la personne qui nous a envoyé ici. Tu as réussi à avoir des réponses depuis ton arrivée ?



En soi… En voulait-elle ? La situation parlait d’elle-même. Zatanna l’avait clairement sous-entendu. Elle avait refait sa vie ici. La question de l’anglais était plus ou moins rhétorique à vrai dire. Mais vivre dans une Utopie n’était pas quelque chose que John voulait. Son libre-arbitre comptait et il voulait se repentir du mieux qu’il pouvait auprès du Dieu qui l’avait créé. Il était impossible pour lui de rester éternellement ici. Mais il ne devait pas être optimiste. Sa propre magie l’avait amené à Zatanna qui elle-même n’avait pas réussi à partir. C’était un véritable cul-de-sac. Tout ça, commençait à l’agacer et c’est pour cela que sa cigarette non-commencée fut aussitôt allumée. Au diable les commodités, il avait besoin de fumer, c’était un fait.

Il ne fallait pas qu’il ait aussitôt un coup de blues. Toutes les paroles de Zatanna avaient été écoutées avec minutie surtout concernant la personne qui vivait avec lui. Son regard était étrangement taquin. Il n’était pas né de la dernière pluie. Soit elle nierait quelque chose, soit elle était dans un déni des plus fous !



— Dis-moi. Où est cette fameuse collègue ? Elle ne va pas être jalouse de savoir un de tes ex dans les parages, hum ? Et ne me dis pas qu'il n'y a rien. Je te connais que trop bien, à ton grand malheur, my dear



Mais bien-sûr qu’il était volontairement lourd et surtout très taquin. Zatanna était souvent sur la défensive, elle chercherait milles excuses. Mais chaque mot, attitude ne passait pas inaperçu. Elle avait clairement le béguin pour sa colocataire, les gestes ne mentent pas, eux.



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