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DC

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Le Joker

Le Joker

id : The emergency exit - Joker. Nv11
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The emergency exit - Joker.  − Lun 14 Juin - 22:24



Joker
Clown Prince du Crime

dc comics (batverse)


identité

nom − Vilaine curiosité, vous savez, si les coulisses ne sont pas inclues dans la visite guidée c'est bien pour une raison. Tout cela a tellement pris la poussière depuis que personne n'est venu y faire un brin de ménage. Puisque nous en parlons. Une vie proprette, bien rangée et référencée dans les bons papiers, vous ne trouvez pas ça sacrément barbant ? La bureaucratie donne de l'urticaire à plus d'un pauvre hère. Et si on ne s'y risquait pas ?
prénom − Oh mais c'est que ça vous démange. Partons sur un Joe si ça vous plaît. Cela dit prudence, donner un nom c'est commencer à s'attacher.
date de naissance − Comme c'est prévenant. Mais chaque journée est un bel anniversaire si on plante ses crocs dans le palpitant sanguin de l'existence. Maquillez donc vos lèvres d'un peu de passion décomplexée. Non mais, franchement, vous devriez sourire plus souvent !
âge − Quelque chose qui se situe entre le début et la fin des rires, puisque nous sommes en famille disons la quarantaine ?
lieu de naissance − Oh assurément la belle, grandiose, monstrueuse, Gotham. Plus qu'un terrain de jeu, une muse exigeante aux courbures dantesques et à la faune fascinante.
nationalité − Gothamite, américain, citoyen du monde mesdames messieurs.
précédente adresse − On ne va pas se mentir, ça ne serait pas très joe-joe, l'asile d'Arkham était un point de chute récurrent. Vous avez déjà joué au monopoly ? Voilà, c'est exactement comme la case prison. On y attend trois tours, on se chamaille avec les autres joueurs et on en ressort avec l'espoir de s’approprier la ville chevillé au cœur. Sinon ? Un taudis quelconque, décoré par la décrépitude et parfumé d'effluves chimiques.
planète d'origine − Terre-1.
profession − Agent du chaos et amuseur de chauve-souris caustiques, pfiou un job à plein temps qui demande de se ré-inventer chaque jour.
statut civil − Mais allons, marié au travail bien sûr.
orientation sexuelle − Il faudrait sûrement confesser un petit plaisir coupable, un certain attrait pour la destruction - tout le monde a ses petits trucs.
particularité − Un sourire angélique qui rehausse les lèvres -  le sculpteur n'était pas exactement un spécialiste et c'est vrai que l'épiderme labial est un rien gondolé de boursouflures vineuses, mais disons que ça égaye quand même les traits.
Un teint de peau blafard cultivé par de la poudre balancée sur le visage d'une main lourde. Du rouge à lèvres éclatant, des cavités orbitaires creusées par du maquillage noir. Et, bien sûr, des cheveux éternellement décolorés qui virent au vert électrique.




identité masquée

pseudonyme − Pseudonyme, nom, quelle différence si la représentation ne s'achève jamais ?
années − Ah, tout ça, on peut déjà s'entendre sur le fait ça ne nous rajeunit pas - ni les compères ni votre humble serviteur. Disons qu'il y a eu une foultitude d’événements plutôt drôles et que c'est audacieux de s'essayer à tenir le compte. Depuis quand Batsy est-il sur les planches déjà ?
secret − Le Joker a sa petite notoriété.
costume − Une chemise cosy aux teintes criardes, un gilet assez rembourré pour étouffer de méchants coups, une redingote violacée un rien usée et qui commence à s'effiler. Le tout déborde de poches où stocker de précieux joujoux, parce qu'on est jamais trop prévenant, une lame peut même jaillir à la pointe du mocassin.
raison − Pensez-vous que les actions d'un gugusse, quelconque ou remarqué, soient déterminées par une entité surplombante ? Par les lois intrinsèques à la nature humaine ? Ou alors l'effet papillon serait-il plus probable ? Une pichenette à un endroit, une tornade à un autre. On n'aurait pas fini d'en débattre alors autant s'intéresser à ce qui est et qui se joue devant vos mirettes ébahies. Bon d'accord du détail mais c'est bien parce que je vous sens trépignants et instatiables. Avez-vous déjà dansé avec une chauve-souris sous la lumière de la lune ?
bien ou mal ? − Le mal - les oppositions binaires ont leur charme old-school et il faut bien laisser Bats se complaire dans ses certitudes chevaleresques. Le pauvre petit ne s'en remettrait pas.
groupe − Les inconscients ou les manipulateurs, difficile de trancher.
un désir inavoué − Oh mais tout est très assumé, les observations cliniques peuvent en attester avec des mots jargonneux si c'est ça qui vous branche.
votre plus grande peur − Peur, peur, tout de suite les grands mots. Disons que l'ennui a quelque chose de foncièrement... Ennuyeux. Heureusement qu'il se comble facilement.



Pouvoirs & capacités


Le Joker est fait du même bois que sa chère Némésis. Yang de son Yin, il n’a à son image pas de pouvoirs mais un éventail de dispositions avantageuses. Désinhibés par sa démence les coups visent le létal et l’empathie n'amortit rien. Le clown sait toucher l’endroit sensible qui désarticulera la défense et fera s’effondrer le château de cartes. Suspectez une bonne connaissance anatomique. Un coup de couteau porté à la jointure des muscles, une éraflure le long d'une nervure veineuse et l’affaire est en bonne voie.
Son arsenal de jouets est assez loufoque pour déstabiliser un combattant endurci. Il a pour lui le facteur imprévisibilité. Sa force n’est pas merveilleuse mais il la compense par une agilité désorganisée alliée d’un esprit qui ricoche furieusement.
Comédien joueur il sait endosser plusieurs déguisements et a le goût de la mise en scène explosive. D’ailleurs, en bon petit chimiste, il s’avère capable de confectionner des bombes plutôt décapantes ainsi qu’une large palette de toxines. Le gaz hilarant est une spécialité de la maison.
Son rire façonne les reliefs dissonants et versatiles du Clown Square, il y est à la tête d’un solide réseau d’interconnaissances cimenté par la crainte du personnage clownesque, par l’adhésion des empoisonnés à son bastion de jeux malades. Les hommes de main ne manquent pas, s’agglutinent à sa porte tels des papillons happés vers une lumière turbulente et nourricière. Ils sont utilisés comme des consommables et frappés par la marque du rire.
Sa petite virée dans la cuve d’acide, si vous croyez à cette théorie-là, lui accorde une résistance accrue aux poisons.
Enfin, son rapport à la douleur se veut plutôt distant. Son corps reçoit l’information mais son esprit ne traite que la symbiose du mal et de l’excitation. Tant que le Joker n’est pas inconscient il continue le show. Coupez-lui un bras et il se redécouvrira ambidextre.


Anecdotes

il a confectionné une substance toxique, sommairement nommée venin Joker, qui provoque chez les malchanceux touchés un choc anaphylactique ☻ dépendamment du dosage les effets peuvent aller de la crispation des muscles zygomatiques, vrillés dans une torsion douloureuse, à la décoloration de la peau et des cheveux ☻ marmiton et entarteur dans ses heures creuses il n'omet pas de saupoudrer ses pâtisseries d'amour et de cyanure ☻ se serrer la pince entre amis étant un bon moyen de faire passer le courant il a régulièrement une poignée électrique lovée au creux de la paume ☻ empoisonner les eaux de Gotham est un bon moyen d'occuper le lundi soir tout le monde déteste le lundi ☻ le Batman est son obsession monomaniaque et plausiblement son seul ancrage dans un approximatif continuum de volontés et d'actes - pour autant la chauve-souris est contrariante et s'il veut souvent lui tendre une paluche cyniquement amicale, entretenir une folie à deux impensable à nier, à d'autres instants l'envie de l'abattre en plein vol se réverbère dans son esprit furieux et lui fait oublier le beau jeu ☻ oh, mais bien sûr qu'il veut abattre le rongeur volant. Mais pas avant de l'avoir transcendé contre sa volonté, d'avoir décoré ses lèvres figées et têtues avec un large et sordide sourire, pas avant d'avoir corrompu son embêtante et titillante morale ☻  l'identité civile de sa Némésis lui importe peu, pensant vivre sous la peau de la bête ailée et mystifiant leur valse perverse chercher à entrevoir son costume humain serait presque blasphématoire ☻ il perçoit les membres de la batfamily comme des enquiquineurs, des pièces rapportées par son adversaire dans une vaine tentative de gagner en humanité ☻ parfois les réponses n'apportent pas une satisfaction inextinguible. Prenons un exemple : vous avez visionné assidûment une série télévisée, avez frémi devant les retournements, conspué les manquements, acclamé les traits de génie, perdu l'esprit devant les folles facilités scénaristiques. Et tout à coup on vous dit que le l'explication est là. Bang, on vous l'offre. Sera t-elle à la hauteur de ce que vous imaginiez, serez-vous heureux ? Comment tout peut se finir dans une église ? Oh, il reste mor-ti-fi-é par le final de Lost ☻ il est agité par des changements d'humeur intempestifs, sa mine repentante peut pivoter vers un franc éclat de rire, ses colères cruelles et capricieuses plongent bien vite dans les badinages. Ou inversement. Cela conduisit le docteur Penelope Young à l'envisager dans le spectre de la personnalité borderline - pour autant il ne souffre d'aucun trouble dissociatif ni même de problèmes identitaires avérés. Il est, en réalité, indéchiffrable par le prisme de la médecine humaine et humaniste. Le Joker n'est pas un homme, pas une créature sociale, se considérerait comme un stade au-dessus - au niveau du rire décomplexé face à l'horreur qui fait fondre toutes les encombrantes barrières. Il est un monstre anomique, sain dans son référentiel. On ne peut lui imputer aucune pathologie : il n'est pas malade car il ne souffre de rien ! Il est la maladie qui corrompt et compromet. Et, selon lui, après avoir ri des horreurs les plus inhumaines il devient possible de comprendre la meilleure des farces : la vie. Elle qui est tant fragile, tant enrobée de précautions et de civilités, sujet pudique, tous y tiennent tant. Elle est un gros tabou à dédramatiser ☻ lorsqu'il a été trop frustré par la rudesse de Bats, un rien trop connaisser l'animal, il apprécie de se mettre en mode facile. A ces occasions il lui arrive d'aller enquiquiner l'ami Supes - bien plus tendre, bien plus facile à désappointer tant il ne s'attend pas à ses bouquets de cruautés décapantes.
Personnalité

He could make you you cry, giggle and bleed at the same time. Now THAT'S charisma.

Un saltimbanque aux couleurs crûes et aux jeux à l'inconséquence sadique - des jeux dévêtus de toute pondération, gonflés jusqu'à l'explosion par l'absence d'objectif à satisfaire. Il n'y a guère de finalité visée et ses œuvres se vivent dans l'instantanéité des moyens employés - inventifs, expérimentaux, morbides - c'est uniquement l'ampleur du chaos remué qui se déguste. Il reflète et déforme l'image d'un Batman taciturne englué dans sa morale révérée comme ultime garde-fou. Pour le clown tout est égal et se résume par ce qui ne compte pas. L'éthique est une jolie construction et beaucoup s'y attachent pour donner un fil rouge à leurs contradictions - le Joker embrasse toutes les dissonances avec bouffonnerie. Il est si versatile qu'aucune croyance, qu'aucun enjeu ne pourraient lui servir de camisole de force. Si Gotham est une gargouille titanesque, un monstre bicéphale oscillant entre corruption et désespoir, il est le poison qui court dans son sang et qui le fait bouillir, il est le rictus malade qui fait frémir ses lèvres d'effroi et d'abandon. S'il change d'humeur en humeur il sait pourtant manipuler les êtres de routines et de désirs - sa mise en récit change en fonction des failles décelées chez son interlocuteur, dont il se lassera bien vite s'il n'est pas assez drôle pour abreuver sa soif, l'instant est toujours pressant et le clown trépigne, minaude, tonitrue, abat. Il ne ressent aucune peur à l'idée de souffrir ou de mourir en bon amateur d'humour noir et d'ironie de situation. Amoureux de la roulette russe il s'y exerce lui-même régulièrement.
Si le monde est bâti sur des codifications, des impératifs et interdits le faiseur de rires danse sur ces fondations meubles en grignotant leur sacré et en pointant du doigt la sortie de secours située en contrebas - accessible d'un simple plongeon dans le vide.


informations complémentaires

Que faisiez-vous avant d'atterrir à Burning Dust ? Par quelle action vous êtes vous fait remarquer par le phoenix ? Oh trois fois rien. Il traficotait de son côté, s'occupait de son propre business - ah c'est vrai ! Il venait de donner l'accolade à un complice de longue date, Monty ce vieux farceur. L'Oncle J l'avait remercié de sa petite trahison en lui offrant le premier rôle sur les planches du Grin and Bear it. Le gaillard avait - plus ou moins ne chipotons pas ! - consenti à délaisser ses frusques pour la beauté d'une représentation vibrante, écorchée vive. Après avoir frappé les trois coups initiateurs de sa lubie du moment, avoir bien marqué son retour en grande pompe, le clown prévoyait un petit cambriolage sauce kidnapping/réquisition d'associés pour le lendemain. Oh, bon d'accord. Puisque ça ne s'est pas fait autorisons-nous un petit spoil : avouons que la toxine de Crane lui faisaient de l’œil et qu'il était picoté par l'envie de la combiner à sa nouvelle formule du gaz hilarant, histoire de rendre la ville un peu plus gaga - elle l'est déjà vous savez, il s'agissait juste d'une aide à l'acceptation. Une peur hilarante, pandémique si possible, de quoi décaper tous les soucis enfouis ou agglutinés dans le déni !

Savez-vous qui est à l'origine de votre déportation ? Absolument aucune idée, chef. Mais le responsable a le goût du détail il n'y a pas à dire. Tout est juste assez sans dessus dessous pour qu'on se sente à la maison. Peut-être faudra t-il penser à lui glisser une carte de visite dans la poche un de ces quatre matins. Enfin si le machin a bien des poches, évidemment.

Où avez-vous atterri ? Un endroit effrayant ou bien un endroit qui reflète vos désirs ? Oh il n'a pas à se plaindre - son rire semblait se réverbérer contre tous les reliefs alentours, à chaque fois les éclats hilares lui revenaient grossis et renforcés en pleine poire. Un vrai délice. A peine pensa t-il à une chose grand-guignolesque que son regard captait une attraction festive et colorée, à peine envisagea t-il du sombre désordre qu'une ombre planait sur la fête foraine. La réalité semblait refaçonnée selon ses plus beaux délires, versatiles et pourtant exhaussés - bien vite les âmes vivantes lui apparurent comme de séduisantes caricatures d'humains. Oh oui bien sûr, l'humain est toujours caricatural mais là on pourrait parler de parti pris assumé. Définitivement l'architecte était à saluer.

Quelle a été votre réaction une fois en ville ? Serait-ce Noël avant l'heure ? Il ne se pensait pas inscrit sur la liste des enfants sages !

Que comptez-vous faire maintenant que vous êtes prisonnier ? On pourrait se lancer dans un grand débat philosophique ou linguistique avec cette question - qu'est-ce donc qu'être prisonnier ? Question privation de libertés on s'en sort plutôt bien, tout est à faire, très faisable ici-bas. On pourrait aussi refourguer le vieux couplet du, dans tous les cas, si les barreaux de l'esprit sont brisés nulle cage n'est suffisante, mais on se connait trop bien pour ça ! Disons tout simplement qu'il va s'amuser. Et que ça va être mortel.



"Madness is the emergency exit. You can just step outside, and close the door on all those dreadful things that happened. You can lock them away... forever"



Avez-vous déjà été le prisonnier de vos souvenirs ? Au détour d’un virage trop sec, d’une association malheureuse, le train de la pensée s’enclenche et il vous conduit quelque part où vous n’auriez jamais voulu remettre le pied. Vers cet endroit sinistre où aucune lueur ne perce. Vers ce moment particulier qui mord rétrospectivement votre peau à l’en faire blêmir. Qui dévore votre faciès et ne laisse qu’une grimace décolorée.
La mémoire est pernicieuse. Alors peut-on s’abstenir de sa présence envahissante ? Grand Dieu non ! S’écrirait le bon sens secoué d’indignation. La lecture du monde passe par le prisme des souvenirs qui gribouillent de petites balises et annotent leurs directives. On ne voudrait pas laisser la lucidité filer ou perdre l’identité située à la somme des instants vécus alors on se débat, empêtré dans les fils d’une histoire asphyxiante.
Pourtant la sortie de secours clignote dans un coin de la tête. La folie y murmure de sa voix enjôleuse. La folie est l’issue. La libération. Le poids qui leste les épaules s’envole tandis que la nécessité d’ordonner une vie s’étiole. Peu importe si l’évènement x est antécédent au y, ils sont parallèles à la hauteur de ce qui ne compte pas. Tout se consomme et se consume dans l’instant. Si les choses se soupèsent à l'importance qui leur est accordée alors retirez le sérieux qui incapacitait plus tôt et l’ensemble devient égal – jouable. Il suffit de faire le grand saut après une mauvaise journée pour voir le monde se dérider. Cette mauvaise journée devait être insoutenable ! Devriez-vous renchérir, l’empathie titillée et la rationalisation des conduites chevillée à l'esprit. Or la réponse ne serait-elle pas ; qui sait maintenant qu’elle n’existe plus dans le présent ? S’est-elle seulement déroulée ? Et si je vous affirme que oui ne sera-t-elle pas empruntée à l’intrigue de votre série préférée ?
Pour ne rien confirmer je vous propose une petite expérience participative. Une histoire dont vous serez le héros. Fermez les yeux puis cueilliez un chiffre entre un et trois du bout du subconscient.

Un ? Plutôt du genre solitaire ? Je m’égare et, allons, ne nous égarons pas.
Un chapiteau à l’armature qui grince de vieillesse, zébré d’un rouge usé et d’un blanc moucheté de salissures. Il s’accroche au vide en transperçant le public d’une œillade torve. Le vent éventre la toile qui enlace sa scène burlesque. Son œil ne pétille pas. Une plainte criarde l’accompagne ; les planches gémissent sous sa prestation gesticulante. Il n’est pas bien grand et ne doit pas être bien vieux. Il est l’amuseur du soir. En quelques pas chassés il a su gagner les cœurs qu’il embrasse d’un sourire effilé. Mais il n’est pas le premier rôle et on le lui rappelle. Crac. Du verre se brise à la surface de sa tempe. Un pas de recul et ses mains viennent colmater la brèche dans son équilibre, empoigner son crâne. Hagard sa vision est engloutie par le vague et il chancèle sur quelques mètres. Il n’est pas du tout amusé. Les coups pleuvent alors il finit par échouer à terre acclamé par l’hilarité collective. Il vient de recevoir l’estocade décisive. Recroquevillé sur le flan, les projecteurs le délaissent. Son numéro est terminé. Automate il se relève et époussette d’un revers de main désabusé son costume rapiécé. Notez que les détails rendent une histoire plus vibrante – selon vous, de quelle couleur était ledit costume ?
Ce cirque ambulant constitue une routine. Son rôle est déterminé ; celui qui satisfait le besoin cathartique du spectateur. Son venin reste cloisonné et il n’a pas fière allure. Il trébuche sur ses mots et fuit du regard. Ce n’est pas l’heure.
Maman est charmeuse de serpents. Elle est également peu regardante sur la marchandise de sang chaud. Ses nuits sont rarement silencieuses. Lui se moque bien de sa souscription aux plaisirs charnels, pour peu qu’elle ne soit pas trop bruyante et qu’elle puisse l’oublier. Mais les deux closes s’accordent rarement et admettons que c’est fâcheux. Les pluies de coups sont diluviennes, peu à peu le réel se dilue dans le futile et les morales s’éteignent. Le rire est la seule prise possible sur cet univers qui lui échappe. Rire pour s’anesthésier et pour rendre le monde stérile. Inconséquent dans tous ses embranchements – infiniment plus abordable et retournable. Il n’y a plus de règles de cohérence mais uniquement de la terre glaise. Il n’y a plus de personnes mais uniquement des ombres portées sur les barreaux de sa cage.
Un soir il tutoie une lubie aussi anodine que le carcan l’ayant vu naître. Un désir qui aurait dû être évincé d’une claque de la vie, fine pédagogue. La réussite est presque un hasard.
Aujourd’hui maman et morte. Le poète qui compose les vers soulignerait, de sa verve gracile, que ce sont désormais les vers qui la décomposent. Notez qu’ils serpentent d’après d’admirables arabesques ces joyeux drilles. Rien n’a jamais aussi bien relevé le teint de cette femme – exit le maquillage et bonjour la touche bio.
Aujourd’hui il est sur le devant de l’affiche. Il n’est pas le héros, non la marge de manœuvre serait infiniment trop restreinte. Il est le méchant. Celui d’une histoire fade, un lieu commun, mais ayant un petit potentiel. A lui de la distordre pour l’étirer jusqu’aux degrés les plus risibles.

Deux. Alors on aime les dynamiques de duo ?

Il n’ose pas pousser la porte. Ses doigts tremblent à l’effleurement de la poignée, ils s’y échouent d’abandon alors que son regard défait retombe vers le sol. Sa gorge est raclée dans une recherche de contenance. Il aurait presque frappé pour demander une permission, hagard qu’il est, en oubliant que son enfer s’ordonne en premier par chez lui. Pourtant Papa, de ses mains aux jointures rudes, avait tenté de l'introduire à l'horreur domestique - celle qui est gardée en huis clos pour ne pas déranger.
Chez lui où aujourd'hui  les piles de factures impayées ont réquisitionné l’espace vital. Où la personne avec laquelle il partage sa vie, imaginez ce Pnj comme vous voulez, n’est plus qu’un mirage à force de ne pouvoir s’y confronter d’un regard tangible.
Il est un humoriste raté. Et puisque le pathos n’est pas très vendeur sa situation ne tend pas vers l’amélioration. Son esprit est empâté, noirci par l’échec, alors impossible d’envisager une épiphanie détonante. Impossible d’arracher un sourire à quiconque. Il n’inspire que la gêne.
Aujourd’hui il revient avec un arrangement dans la poche. Et pas mal d’argent aussi. Il a vendu son âme chancelante au plus offrant.
Bientôt il sera utilisé comme petite main servile. Bientôt il sera incapable de porter un ordre à exécution – ôter une vie ? Impensable ! Ce n’est pas le bon personnage, allons, lui connaît l’attachement et l’empathie. Alors, bientôt sa famille sera un dégât éducatif.
Un peu plus tard, n’ayant plus rien d’autre à perdre que son nom, il portera le masque rouge du bouc-émissaire.

Trois ? Eh bien, une composition inusuelle. Fêtons ça en consommant une histoire clichesque.

La pluie réverbère l’éclat grésillant des néons en stries colorées, criardes et chancelantes elles détourent une silhouette brumeuse en progression inflexible. L’individu s’avance valise à la main et disparaît au pallier d’un hôtel de mauvaise fréquentation. Il connaît son travail sur le bout des ongles. Tout est encodé sur du papier à musique. Sa lupara est scindée à la peau sous l’imperméable. Il est un rouage effecteur de l’organisme. Un membre de la famille. Il attend sa cible patiemment, habillé par le noir complet de la pièce.
Depuis sa plus âpre jeunesse il travaille dans la mafia. Il n’est pas exactement un preneur de décisions mais il exécute bien. Il n’est pas chatouillé par les remords la nuit. Dans cette ville les cartes sont distribuées de manière parfaitement lisible et agir en conséquence relève de la simple logique – son rôle s’enregistre parfaitement dans le contexte de cette cité corrompue – aux allures de bête mythique ou monstrueuse. Le contexte est celui de l’offre et de la demande. Du meurtre comme outil dans l’exercice du légitime frauduleux.
Un jour il tombera à son tour, cela sera sûrement acide à s’en déchirer l’âme, mais vous pouvez parier qu’il aura joué le jeu jusqu’à l’instant T.

Alors quelle saynète serait à privilégier selon vous ?
La question est une non-question. Peu importe puisque toutes les issues se valent !
Le Joker est le produit de Gotham. Son incarnation née des plaies purulentes de cette ville au système malade. Il personnifie sa folie amorale. Il n’est pas un homme mais le poison qui s’insinue dans ses rues.
Il est intemporel. Il ne répond et ne se sculpte qu’en fonction du visage de Gotham.
Pour comprendre la créature côtoyez la maladie qui court dans les ruelles, portée par l'impunité de la nuit.

I. A death in the family. Le jeu foldingue qui l'unit à la chauve-souris est une affaire de grandes personnes. Allons ne laissez pas vos enfants venir y fourrer leurs petites frimousses masquées, aussi attendrissantes soient-elles !
Le fils prodigue a quitté les planches et le Joker l'a oublié dès l'instant où il n'a plus fait partie du show. Mais le nouveau moineau est au centre de son viseur - on l'y a placé !
Batman était un bon divertissement mais le voilà qui bride sa violence, qui se pâme devant un peu d'innocence, qui s’assagit par responsabilité la belle excuse tiens, comme si sa sainte règle n'était pas assez encombrante. Le clown sent bien sous les frappes mollassonnes de sa Némésis que quelque chose cloche. Sa sauvagerie, toujours retenue d'aller trop loin sur le fil du rasoir, n'est plus aussi menaçante et leur dynamique crasse s'est mue en rapports strictement professionnels - bien souvent le Joker est reconduit à Arkham sans même avoir frôlé la commotion cérébrale. Le vieux camarade semble retenu, avoir obtenu un quelque chose d'humain et c'est une sacrée régression. Une vilaine fuite.
Ce Robin commence à chiper un peu trop d'attention - un peu étant déjà trop. Kidnapper l'oisillon n'est pas, uniquement, une façon de blesser le justicier dans les affects qu'il n'aurait jamais dû agiter sous le nez de son adversaire. C'est également une manière courtoise de prévenir : mêler des amis à leur petit jeu, et bien, c'est accepter de les voir empêtrés dedans.
Un entrepôt désaffecté mordu par le froid et l'isolation, un rouge-gorge ligoté et rétif, une barre à mine et la magie opère. C'est une punition, une intronisation, c'est un peu quoi que ce soit, tout et rien, une entracte. Le clown déguste la résistance têtue que lui sert le garçon tout autant qu'il n'y goûte pas. S'il siffle d'admiration face à sa jolie rage celle-ci ne creuse pas son intérêt - ce pauvre Robin n'a pas le bon rôle.
S'il est affairé à lui administrer de cruelles, paraît-il pédagogiques, il l'affirme mais lui-même en doute, douleurs il ne s'attarde pas sur les contours juvéniles de la silhouette brisée. Pas qu'il soit incapable de comprendre que son arme déforme le visage poupin d'un jeunot mais, que disions-nous déjà sur les actes inhumains ? Ah oui ! Ils débrident la réelle nature des gens et le reste, l'empathie particulièrement, n'est que fioritures. Qui plus est seul le masque lui importe - c'est une invitation, la preuve de l'inscription du protagoniste dans la pièce. En dessous rien n'existe.
Lorsqu'il l'abandonne en tête à tête avec la bombe il sait bien que la situation de l'oisillon est un rien tendue, il détourne mollement son attention et décampe. Il n'y a aucune satisfaction à glaner. La mort de Robin est optionnelle, vaguement souhaitée, il n'y pense déjà plus maintenant que les rideaux sont tombés.

II. A killing Joke. Ne jamais s'attacher à un but, l'occasion faisant le larron, être la folie allégorique, foncer sans boussole d'une saynète à l'autre comme on sauterait d'une bd à l'autre, c'est une jolie continuité fracturée. Mais et si, pour une fois, on s'essayait à autre chose ? Et s'il planifiait sérieusement quelque chose le temps d'étancher une soif de démonstration ? Assurément ça donnerait un résultat sinistre et cynique.
Cette fois-ci en sortant d'Arkham le Joker a une théorie entêtante, elle est fiévreuse sous sa caboche. Et s'il suffisait d'une seule mauvaise journée pour réduire l'homme le plus sain d'esprit du monde à la folie ? Peut-être avait-il lui-même connu une mauvaise journée, une fois, mais allons l'expérimentateur ne doit pas s'inclure dans l'expérience sinon ça fausserait le protocole.
Les hommes sains d'esprit ne courent pas les rues de Gotham. En fait dans son carnet d'adresses il n'y en a qu'un qui réponde correctement aux prérequis. L’inaltérable, valeureux, commissaire Gordon. Alors le clown lui dédie une journée d'enfer.
Une journée pour abattre sa citadelle de certitudes, ses acquis révérés et inonder ses fondations. Le Joker attaque le bonhomme dans tout ce qu'il y a de plus intime, de plus respectable, de valeur.
Costumé en vacancier, sa présentation est négligée, il n'y a rien d'iconique, il n'est pas un adversaire révérencieux, le ludique est exhibé, pas d'importance. Il tire sur sa fille adorée chapeauté d'un canotier rose bonbon. Lorsque sa victime lui demande la raison de son geste il lui rétorque d'un air badin, cocktail à la main, qu'il s'agit simplement de marquer un point. Que si elle a bien reçu la balle elle n'était pourtant pas directement visée. Il la photographie ensuite, ignorant sa dignité, l'ignorant en tant que personnage. Il ne garde d'elle que des clichés sordides qui serviront de levier pour actionner la démence de son père.
Il ne lui reste plus qu'à kidnapper ledit père. Le Joker conduit son invité jusqu'à un endroit jouasse, un parc d’attractions, quelle meilleure scène pour apprendre l'inconséquence, pour ne pas permettre un deuil sinistrement sain ? Lorsqu'il lui tend les clichés de sa fille, qui n'est plus vêtue que par son linceul de sang, la mélodie du manège entremêle ses notes guillerettes aux râles furieux de Gordon. Le chant du cygne de sa santé mentale ?
Vous pensez bien que non. La nuit est tombée et les chauve-souris sont de sortie.
Voilà le justicier qui arrive tel un sauveur grandiose, qui libère le commissaire et accule le clown sur un toit. Le rongeur volant était attendu et presque espéré car, qu'importe Arkham, maintenant que la théorie est semblerait-il prouvée. Désormais le clown peut démontrer à sa Némésis qu'une unique journée sépare sa folie du reste du monde - que ce monde est en équilibre précaire. Que la vie et la mort se jouent perpétuellement, que les deux se frôlent, cohabitent, à la moindre décision politique malheureuse. Que toutes les variables, inaccessibles, contingentes, assassines, n'ont pas plus de sens que ses propres actions.
Mais cette fois le Batman aussi a changé de registre et, stupéfaction, il propose son aide.
Un rire spasmodique secoue la cage thoracique du clown, l'hilarité agglomère ses quelques relents d'âme. C'est amer et c'est précisément parce que ça l'est que c'est si drôle. Ah la chauve-souris est un sacré numéro - mais il est bien trop tard pour composer un binôme rédempteur/sauvé et le clown sait, intimement, que sa Némésis en avait conscience à l'instant même où la proposition est sortie de ses lèvres. En réserve le clown n'a qu'une blague imagée, taillée pour eux deux. Un clin d’œil pour saluer l'effort, saluer une compréhension mutuelle. Il est évident que cet animal ailé a, lui aussi, eu une très mauvaise journée. Y a deux mecs dans un asile de fous... et un soir ils décident qu'ils en ont marre de vivre dans un asile de fous. Ils décident donc de s'évader !
L'un des fous poursuit alors un but émancipateur, viscéral, y accroche tout ce qui lui reste de raison. Tandis que l'autre emprunte la sortie de secours, saute dans le vide, en renonçant à la raison. Le Joker, en contrebas du sombre monde sensé, continuera à faire clignoter sa lampe torche pour indiquer à Bats le meilleur angle de chute.

III. Arlequinades. Ah, Arkham. On s'y sent comme à la maison. Toujours la même nourriture caoutchouteuse, les mêmes lourdauds aux uniformes mouchetés d'auréoles de café, les mêmes frustrations explicitées par des histoires familiales ou pécuniaires à la pause, dans les cellules la même faune que celle qu'on retrouvera bien vite à l'extérieur, les mêmes chocs électriques.
Et puis un jour un nouveau visage. Plus exactement un joli minois. Le docteur Harleen Quinzel semble vouloir s’accaparer son cas et le clown suspecte chez la jeune femme une voracité n'ayant pour égal que son talent - sinon la direction de l'asile, aussi joueuse soit-elle, n'aurait pas glissé un dossier sensible entre ses mains encore jeunes. Voici donc un challenge distrayant. Qui plus est le nom de la doctoresse propose un chouette jeu de mots - le destin, fieffé coquin.
Les séances de thérapie se font désormais en meilleure compagnie et le Joker peut se produire devant un public réceptif, client de ses mises en scène et énamouré des personnages qu'il écrit pour l'occasion. Il perçoit distinctement les failles de sécurité, la fascination se mêler au besoin d'être la sauveuse, il en joue allègrement pour remplir son huis clos.
Mais il ne s'attendait assurément pas à voir jaillir devant lui, un beau jour, une arlequine pimpante ! Et quel sauvetage ! Les voici sorti d'Arkham en duo clownesque. Une belle idylle en perspective pensez-vous ?
Oh Harley est usuellement une bonne camarade de jeux, une oeuvre qu'il pourrait considérer comme sienne, peut-être un prolongement de lui-même, quelqu'un qui ne se débine pas à la première folie venue.
Mais le clown n'est guère intéressé par les compagnies humaines. Et en dehors des moments où il est disposé à jouer en binôme il le lui fait - violemment - sentir.
L'arlequine n'en est plus à sa première escapade loin de son emprise - à chacune de ses absences le clown est, un jour aléatoire ou le suivant, frappé par le vide laissé derrière elle. Alors, furibond ou soigneux, il s'arrange pour la ramener à lui. Proche de lui elle n'existe que de manière temporaire, selon les couleurs de ses humeurs. Pourtant il ne lui accorde guère le droit d'exister loin de lui - plus à partir du moment où la lubie le pique.
Maintenant qu'il y pense ça fait un bail qu'Harley est partie faire mumuse avec ses désagréables camarades.

IV. Introduce a little anarchy. Tant de choses sont restées suspendues ailleurs - ou peut-être n'existent-elles plus ? Qu'importe ! Le voilà contremaître dans une usine de farces mortelles et de rires malades. Architecte du malsain rieur. L'endroit qui s'est ouvert à lui, d'une quelconque façon, est une Gotham miniature à l'essence dénudée, désinhibée sous son influence. Est-ce là le grand final ?
Plutôt l'ouverture de la meilleure des blagues.




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Le Joker

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Re: The emergency exit - Joker.  − Lun 14 Juin - 22:26


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prénom: Toujours Loki, ça lui donne de l'importance.  The emergency exit - Joker. 1351987301
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un petit mot?: Je vous adore profondément. The emergency exit - Joker. 1744940389

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Nick Fury

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Re: The emergency exit - Joker.  − Lun 14 Juin - 22:40




évaluation du S.H.I.E.L.D → Gotham et le monde n'ont jamais autant tremblé que devant ce Joker si prompte à faire basculer le plus sain des individus dans les abymes de la démence. Sous tes mots, le Joker n'a jamais était aussi angoissant, amusant et jouissif. Tout dans son interprétation nous pousse à une euphorie malade.  The emergency exit - Joker. 1744940389

Ton Joker est d'une parfaite justesse et ce dans chacun de tes mots. Il est si simple de tout oublier, pour le laisser de sa verve nous emporter dans son univers mortuaire mais hilarant. Burning Dust sera bien en danger face à un Joker aussi désaxé et dangereux et j'ai vraiment hâte de le retrouver en jeu, accompagné de ton incroyable façon de le mettre en scène et de le faire vivre.  The emergency exit - Joker. 3186586512  The emergency exit - Joker. 3186586512  The emergency exit - Joker. 3186586512 A plusieurs moments, mes rires étaient très sincères. Est-ce grave docteur ? Ton histoire est complexe et les multiples embranchements possibles donnent encore plus de mysticisme à ce personnage qui semble immortel, un point immuable du mal dans l'espace et le temps.  The emergency exit - Joker. 2371545316

Tu es évidemment validé. Ce serait de la folie de ne pas le faire.  The emergency exit - Joker. 2273949058

conclusion → Adéquat pour le recrutement, cet agent nécessite une véritable supervision pour pouvoir fonctionner de manière satisfaisante dans le cadre des mission du forum B.I.F. Pour ce faire, il est vivement conseillé de lui indiquer le sujet approprié pour pouvoir poster sa fiche de lien et ainsi nouer les relations indispensables à sa survie en milieu hostile. Il serait également essentiel de lui faire parvenir les informations vitales concernant les peurs et désirs qui peuvent amener l'entité à piéger son entourage par le biais des scénarios ou des pré-liens.

Évaluation de recrutement en vue de l'initiative P.H.O.E.N.I.X :

JOKER : OUI

JOKER : OUI


note annexe →Vous vous apprêtez à vivre une aventure que nous espérons hors du commun. Aussi, nous vous enjoignons à ne pas hésiter à nous harceler pour vous intégrer au mieux dans l'univers merveilleux et angoissant de Burning Dust. Si vous désirez des rencontres imprévues en rp, ce sujet de demande est à votre disposition mais n'oubliez pas que les jeux et l'amusement, surtout en temps de guerre, sont le milieu propice à toute nouvelle rencontre.


BELLE AVENTURE




LE
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Jason Todd

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Re: The emergency exit - Joker.  − Lun 14 Juin - 22:47

Je crois que je vais le regretter, mais il va nous falloir un lien. D'urgence.
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Le Joker

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Re: The emergency exit - Joker.  − Lun 14 Juin - 22:51

Merci pour cette ren-ver-san-te validation, j'en suis tout retourné. The emergency exit - Joker. 1744940389 En espérant être assez dérangé pour camper correctement le personnage The emergency exit - Joker. 1511391443

Jaybird > Oh que oui, vilain gaillard. Je sais où te trouver. The emergency exit - Joker. 826301085
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