Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal

Partagez

 Danger vous avez dis? ► Libre

DC

DC
Artemis M. Crock

Artemis M. Crock

id : Danger vous avez dis? ► Libre Tumblr_inline_p8nqr5mDxv1sccn28_540
birthdate (irl) : 07/04/1988
messages : 89
moitié : Danger vous avez dis? ► Libre Tumblr_mhluc6MYmK1ruu0mwo2_500

Danger vous avez dis? ► Libre Empty
Danger vous avez dis? ► Libre  − Lun 10 Fév - 0:35

    Je descendais dans la rue pour retourner à ce qui était mon appartement, du moins dans cette ville fantôme que je ne compre mnais pas... j'avais passer une journée au travail ou du moins je tenter de faire comme si ma vie était normal. Et faut se l'avouer c'était perturbant de voir des gens qui était censée être des amis mais en fait non...
    Enfin ce monde qui était un mensonge et qui n'était qu'un pauvre souvenir de notre vrai vie, ça me foutait les jetons et je me demandais ce que je fichais ici et surtout quel force surhumaine et magique nous avaient tous embarquer ici.

    Je n'avais pas retrouver tout le monde, enfin je veux dire j'avais recroiser Oliver Queen, mon « oncle » et mentor je l'avais retrouver lui, et il ne comprenais pas plus que moi. Il ma seulement dis qu'il fallait que je fasse comme avant il était marrant lui.

    Les mains dans les poches, dans ma veste en jean je continuer de descendre ma rue quand j'entendis du bruit un chat qui devait chercher à manger, je continua doucement sans me douter que finalement j'avais peut être quelqu'un derrière moi. En temps normal je l'aurai remarquer mais il faut dire que là c'était pas le cas, je me reposer sur mes acquis et puis surtout j'étais fatiguée...
Revenir en haut Aller en bas
https://beal-feirste.forumsrpg.com/
DC

DC
Cassandra Cain

Cassandra Cain

id : Danger vous avez dis? ► Libre E7WoK
birthdate (irl) : 21/10/1999
messages : 549

Danger vous avez dis? ► Libre Empty
Re: Danger vous avez dis? ► Libre  − Dim 15 Mar - 20:38



did you say danger ?

 
artemis   ϟ  cassandra

Les lumières arborées par les attractions ne cessent jamais de clignoter à un rythme effréné destiné à attirer inexorablement le regard, leurs couleurs plus vives encore tandis qu’une chape d’ombre tombe sur la ville. Ce quartier ne connaît pas la nuit, ne s’abandonne jamais au sommeil, ni ne sombre dans le silence propre à ces heures où l’obscurité devient reine éphémère, occupante en sursis du trône délaissé par la lumière du jour. A l’heure où les rideaux se ferment et les lampes s’éteignent, The Clown Square résiste, resplendit, résonne, dans une effervescence éternelle propre à ces rues sans cesse animées d’une frénésie destinée à dissimuler sous le masque de la joie une agitation aux accents bien plus sombres. Et les gyrophares si reconnaissables des forces de l’ordre ne manquent jamais de se perdre dans le tumulte visuel, clignotements invisibles parmi leurs semblables, tandis que la musique et les rires étouffent le son strident des sirènes. Alors les as du crime sévissent, cachés en pleine lumière, et les cris de frayeur se confondent avec les exclamations de joie dans un chaos dont les passants insouciants ne mesurent pas les effets pervers.

Il y a ceux qui sont venus pour s’amuser et qui flânent dans cet immense terrain de jeu, sautillant comme ce petit au visage caché derrière l’immense éléphant rose que ses bras peinent à tenir mais qu’il s’obstine à porter lui-même, ses mains s’y accrochant avec une volonté féroce. Il y a ceux qui ne font que passer, habitants peu émus par l’euphorie d’un quartier qu’ils traversent sans le regarder, pressés comme cette femme louvoyant dans la foule, bousculant parfois, regard dirigé vers l’avant, sa tête ne s’abaissant que pour jeter des coups d’œil à son poignet gauche. Il y a ceux qui ne recherchent ni l’amusement ni le chemin vers un autre lieu, mais qui arpentent ces rues dans un but précis, ceux qui ne s’abandonnent pas à la fièvre ambiante sans pour autant l’ignorer, mais qui en profitent pour passer inaperçus. Ce sont eux qui t’intéressent, eux que tu surveilles afin d’assurer la sécurité des autres, eux qui sont la raison même de ta présence sur le toit de cette salle d’arcade, dissimulée dans l’ombre du panneau lumineux ornant le bâtiment.

Une position assez proche du sol, te permettant d’observer au mieux les passants, mais uniquement ceux de ce secteur, et tu crains de manquer une attaque en dépit de l’acuité de ton regard entraîné. Mais tu ne peux pas échouer, pas ce soir, pas encore, pas alors que les enlèvements s’enchaînent ces derniers jours hors de portée de tes yeux impuissants, pas alors que des vies sont en jeu et d’autres sont déjà perdues, parce que tu n’as pas agi, parce que tes tentatives d’arrêter ces criminels invisibles demeurent infructueuses, parce que peu importent tes efforts ce n’est jamais assez, tu n’es jamais assez. Alors tu sondes inlassablement cette foule mouvante et rapide, chaque mouvement, chaque posture, à la recherche du moindre indice, du moindre geste infime de ces individus qui se fondent parmi les autres et t’échappent avec brio, et que tu refuses de laisser fuir plus longtemps. Le parfum caramélisé des sucreries servies à la chaîne aux clients petits et grands qui se pressent devant un stand parvient à tes narines, mais ce n’est pas cet effluve qui retient ton attention. Un autre détail t’intrigue, cette silhouette qui se glisse hors de la file d’attente sans un seul des produits vendus mais dont la main droite se glisse prestement dans la poche de sa veste tandis qu’elle progresse, d’un pas à la cadence trop contrôlée pour être naturelle, vers une rue moins fréquentée.

Tu réagis promptement, bondissant avec agilité au bas de ton perchoir afin de poursuivre cette piste que tu attends depuis le début de la soirée, et l’adrénaline te pousse après ta longue observation immobile. Tu ne tardes pas à découvrir la cible de celle que tu files, une jeune femme à la longue chevelure arpentant la rue d’une démarche absente, future victime inconsciente du danger qui la guette, et ton pas s’accélère en même temps que les battements de ton cœur guidé par l’urgence. La main gantée s’élève avec une discrétion maîtrisée à la perfection, un tissu blanc reposant au creux des doigts qui menacent de s’abattre sur celle qui ne semble pas voir le piège se refermer sur elle. Ta propre main s’interpose alors, saisissant l’autre bras alors que tu t’élances, tirant brusquement l’agresseur en arrière pour lui faire perdre l’équilibre. Sa résistance laisse peu de doutes sur son entraînement, et tu as alors la certitude qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé mais d’une organisation bien rodée, responsable des autres disparitions qui occupent ton esprit depuis quelques jours. Tu esquives avec habileté ses coups précis, attentive à ses multiples actes alors qu’un canif est sorti d’une poche dérobée, et tu te focalises alors sur cette arme dont tu t’efforce de te saisir pour la jeter hors de portée de ton adversaire. Et c’est là ton erreur, car la lame t’a détournée du mouchoir imbibé d’une substance toxique que tu n’as pas le temps d’éviter alors qu’il s’abat sur ton visage à demi découvert, et tu retiens ta respiration trop tard, sentant la brûlure atteindre tes yeux et les toxines agir progressivement sur ton corps tandis que tu luttes pour échapper à celle que tu as tenté d’attaquer.

DESIGN ϟ  VOCIVUS // IMAGES BY TUMBLR  
Revenir en haut Aller en bas
DC

DC
Artemis M. Crock

Artemis M. Crock

id : Danger vous avez dis? ► Libre Tumblr_inline_p8nqr5mDxv1sccn28_540
birthdate (irl) : 07/04/1988
messages : 89
moitié : Danger vous avez dis? ► Libre Tumblr_mhluc6MYmK1ruu0mwo2_500

Danger vous avez dis? ► Libre Empty
Re: Danger vous avez dis? ► Libre  − Jeu 23 Avr - 0:21



Cassandra & Artémis
Danger vous avez dis?
QU’est-ce qu’il venait de ce passer ? Non mais vraiment ?! J’avais manqué une attaque, merde… je suis trop perdue dans mes pensées pour savoir qu’on ma suivi et que quelqu’un tombe à terre à ma place. Euh… OKAY Artémis là tu craint…

Je souffle un peu avant de dire :  « OH Merde ! » Je ramasse la jeune femme à terre, avant de comprendre que la personne qui la endormie est toujours là et donc je suis obligée de rouler à terre, pour me relever plus loin. Sortant mon arc qui est plié dans mon sac, tirant ainsi une flèche vers la personne qui avait attenté à ma vie et celle de l’inconnue dans son costume, mes réflexes qui prenait le dessus. Ah bah enfin aurait sortie oncle Oliver, mais il était pas là pour m’engueuler heureusement il aurait honte de moi…
j’ai réussie à toucher la personne ouf tant mieux, maintenant je me casse en traînant un peu la personne difficilement pour la mettre sur mon épaule… Bon là ça va être compliquée il va falloir qu’elle se réveille, d’ailleurs je vais tenter un truc :

« -Hey mademoiselle on se réveille... »

J’arrive à nous poser dans un coin à l’abri d’une poubelle… ouai trop bien non ? Enfin bon ça sera pas mon crush du jour c’est sur, bref reprenons...nous sommes à l’abri pendant un temps, et faudrait vraiment trouver une solution… d’autant que la personne ayant pris une flèche n’est pas contente et lance d’ailleurs une sacrée listes d’insultes. Je décoche une nouvelle flèche qui envoie de la fumée pour tenter de repartir.
code by bat'phanie


[hj : OMG c’est moche c’est pas super… bref donne moi une corde. Ah oui aussi si je suis partie dans un truc pardon mais il fallait avancer, soit dit en passant je vois pas trop la personne en face de nous. Donc si ta une idée je prends xd *boulet*]
Revenir en haut Aller en bas
https://beal-feirste.forumsrpg.com/
DC

DC
Cassandra Cain

Cassandra Cain

id : Danger vous avez dis? ► Libre E7WoK
birthdate (irl) : 21/10/1999
messages : 549

Danger vous avez dis? ► Libre Empty
Re: Danger vous avez dis? ► Libre  − Jeu 28 Mai - 20:48



did you say danger ?

 
artemis   ϟ  cassandra

Les ténèbres t’enveloppent, tentatrices, jetant une brume opaque sur ton esprit déconnecté qui plonge à la suite de tes muscles engourdis dans un relâchement que tu atteins rarement. La drogue déforme les sons, les allonge, les distord, les atténue, au point qu’ils ne sont plus que des abstractions dont tu as à peine conscience. Es-tu seulement éveillée, ou bien perdue au cœur d’un rêve ? Il te semble que des bras te soulèvent brièvement mais tes réflexes sont éteints et si l’instinct te pousserait d’ordinaire à ouvrir les yeux et te tirer de cette prise, la léthargie empêche ton corps de réagir. Une paroi métallique et une odeur nauséabonde, comme une allusion ironique aux refuges de fortune de la vagabonde que tu étais. Une voix résonne, plus fort cette fois, plus proche, mais les mots coulent sur ta conscience endormie. Une autre voix, plus lointaine, paroles incompréhensibles comme toujours, mais cette fois-ci tu y décèles l’intention belliqueuse, ton esprit s’extrayant doucement des limbes pour revenir dans une réalité chaotique. Tu perçois d’autres sons, des pas, des claquements, le sifflement d’une flèche dans les airs et tes yeux s’ouvrent sur une image à demi embrumée. Des sons te parviennent mais leur origine est floue, dissimulée par une fumée qui s’étend rapidement dans la rue, un brouillard qui s’ajoute à ton champ de vision pour augmenter encore ta confusion. Tu écarquilles les yeux, surprise de voir la victime que tu cherchais à protéger dans une toute autre posture, un arc à la main et le corps en alerte.

Tu t’appuies sur le mur dans ton dos pour te lever, soulagée de retrouver la maîtrise de ton corps, et tu échauffes tes muscles engourdis par leur sommeil forcé, prête à combattre l’attaquante qui vocifère dans le nuage cendré. Il te serait intolérable de la laisser poursuivre sa mission, aussi t’entêtes-tu à lutter contre elle, persuadée d’avoir le dessus cette fois-ci, à présent que son arme toxique est épuisée et qu’elle ne dispose plus de l’effet de surprise. D’un signe de tête, tu intimes à l’archère de fuir la ruelle, confiante dans ta capacité à vaincre la menace qui vous fait face. Elle n’est pas impuissante, capable de se défendre avec son arc, mais tu crains que par une flèche fatale elle cause une mort que tu cherches à tout prix à éviter. La fumée se dissipe peu à peu, assez pour que tu aperçoives la flèche qui se dirige droit vers toi, déjà tâchée du sang de votre adversaire qui n’a fait que la renvoyer, et tu te déplaces afin de l’éviter. Une douleur intense vrille ton épaule et ton bras, là où la flèche s’est fichée malgré tes efforts, car tu as été trop lente, car tu n’as pas été assez réactive. Et à la souffrance physique s’ajoute l’incompréhension, car si tu sais prédire la direction d’une balle tirée dans ton dos, alors comment as-tu pu te laisser toucher par une flèche lancée devant toi ? Si ce premier coup est un choc, tu as appris depuis bien longtemps à frapper sans répit avant d’admettre la défaite. C'est donc sans difficulté que tu brises la hampe de la flèche logée dans ton bras droit, ignorant la pointe toujours fermement ancrée dans ta chair et la douleur qui en résulte – car tu as déjà connu pire souffrance – et tu fonds sur l’adversaire, prête à user de toute ta force pour le faire sombrer dans l’inconscience et le mettre hors d’état de nuire, pour cette nuit du moins.


DESIGN ϟ  VOCIVUS // IMAGES BY TUMBLR  
Revenir en haut Aller en bas



Contenu sponsorisé


Danger vous avez dis? ► Libre Empty
Re: Danger vous avez dis? ► Libre  −

Revenir en haut Aller en bas
 Revenir en haut 

 Danger vous avez dis? ► Libre

Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Burst into Flames :: "Dreams save us" :: "Rps Burning Dust V.1" :: "The Clown Square"-
Sauter vers: